vendredi 25 septembre 2009

Saucisses et lard à la giendre

ça c'est Bourguignon!

Saucisses et lard à la giendre
Ingrédients:
Des saucisses genre saucisses de Morteau, saussises de Montbeliard, saucisse de Francfort...
Du lard frais ou demi-sel
Un grand sac de *giendre
Du vin rouge

Dans une cocotte minute ou une grande cocotte, s'il y a beaucoup de monde, placez d'abord une couche de giendre, puis une couche de saucisses, puis une couche de lard en tranche épaisses, puis une couche de giendre etc...
Terminer par une couche de giendre, puis mouiller de vin rouge, jusqu'en surface.
Placer la cocotte a feu très très doux pendant une dizaine d' heures.
Sortir la charcuterie de la giendre la mettre sur un plat de service, accompagnée de pommes de terre vapeur.

*La giendre: est obtenue après la pressurage du "chapeau" d'une cuve formée par les peaux et pépins de raisins rouges, lorsque la macération est terminée, on tire le jus (qui est au dessous du chapeau) le "vin de goutte", puis on presse les peaux et les grains afin d'obtenir "le vin de presse", le présurage terminé, la giendre est donc sorti du pressoir et stockée pour la distillation industrielle.

Le raisiné de Bourgogne


Le raisiné de Bourgogne
Recette raisins: Résiné ou raisinet de Bourgogne; il s'agit en somme d'une confiture de raisin.

Préparation: 1heure 30minute

Ingrédients: 3kg de raisins (la couleur importe peu, selon les goûts).

Presser dans une terrine les grumes pour en faire sortir le jus et les pépins (Important les pépins).
Dans une autre terrine, les pulpes; jeter les peaux.
Faire bouillir le jus, avec les pépins, cinq minutes, le passer et le remettre dans le chaudron. Y ajouter les pulpes et leur poids de sucre. Cuire pendant deux heures. prendre soin d'écumer au début.

*Pendant l'occupation allemande, en raison de la pénurie de sucre, on fit du résiné simplement en faisant bouillir et réduire considérablement. Cette pratique est , bien entendu abandonnée.

On fait aussi du raisiné en ne conservant que le jus auquel on ajoute d'autres fruits: poire, pommes, coings... mais la recette initiale, du siècle dernier ne comporte que du raisin.


^_^
Mellecey (71), la nature s'affole~~!!! les vendanges s'achèvent, les dernière tomates murissent au jardin et le cerisier est en fleur...
Vu au domaine -Mellenotte Jean-pierre et Pascal-

Cuvage 2009


Cuvage 2009
Vin de presse (bac sous pressoir)

Vendanges 2009 - cuvage -


Vendanges 2009 - cuvage -
Pressoir à pneumatique et tapis roulant

Vendanges 2009 - cuvage -


Vendanges 2009 - cuvage -

Vendanges 2009 - cuvage -


Vendanges 2009 - cuvage -
Montée des raisins blancs dans le pressoir

Vendanges 2009 - cuvage -


Vendanges 2009 - cuvage -
Macération rouge "à cuve ouverte" (2)

Vendanges 2009 - cuvage -


Vendanges 2009 - cuvage -
Macération rouge "à cuve ouverte"

La toiture végétale - J'♥♥♥


La toiture végétale est une alternative aux toitures traditionnelles composées de tôles, d'ardoise et de tuiles. C'est une toiture qui suscite bien des engouements parce que premièrement, le respect de l'environnement occupe de plus en plus de place dans nos vies quotidiennes, et deuxièmement, c'est une alternative qui allie à la fois beaucoup d'avantages avec des matériaux presque entièrement naturels. Ce type d'écotoit est composé de quatre parties distinctes : une enveloppe d'étanchéité composée soit de caoutchouc, soit de bitume, une couche de purification et de drainage fait de cailloux et d'argile, un substrat sur lequel vont pousser les végétaux et enfin la dernière couche pour les végétaux.
Ce type de toiture est surtout préférable pour des toits plats ou dont l'inclinaison ne dépasse pas 35°, sinon on parlera plutôt de mur vert ou végétal. Ce concept n'est pas nouveau et remonte même à des milliers d'années, certains indiens d'Amérique du Nord utilisent depuis toujours cette manière traditionnelle pour recouvrir leur habitation. Mais cette ancienne méthode est très contraignante car étant donné que la couche supportant les végétaux est en terre, elle devient très lourde à cause des pluies. À titre d'exemple, sachez que si on utilisait cette méthode pour recouvrir un toit d'environ 100 m², il pèserait environ 40 tonnes !
Certains pays utilisent depuis longtemps cette méthode, surtout dans les pays du Nord de l'Europe du fait que la nouvelle technique faisant appel au bitume et au caoutchouc permet beaucoup plus de souplesse sans trop changer la structure de la maison.

Avantages de la toiture végétale

C'est surtout les avantages pratiques qui la sortent du lot : la rétention de la poussière, l'isolation phonique car la terre est parmi les isolants les plus efficaces qui existent, l'augmentation des espaces verts, l'oxygène dégagé par les plantes contribuent à la santé des habitants, une meilleure filtration d'eau de pluie car des études ont montré que la toiture verte retenait jusqu'à 50 % d'eau par rapport aux toits traditionnels. Il ne faut pas négliger sa gestion de la chaleur, on s'est aperçu que la température d'un toit traditionnel pouvait atteindre les 60°C alors que celui du toit végétal reste entre 15 et 20°C.


a voir:


*Introduction au toit végétale
*Côté maison


La toiture végétale - J'♥♥♥

La maison en fuste - j'♥♥♥ -


Fuste est le nom féminin désignant les maisons construites en rondins de bois brut ou de madriers, empilés les uns sur les autres afin de constituer des murs étanches et solides.

Les maisons en fuste, fabriquées par un procédé artisanal selon la méthode norvégienne procurent un milieu d'habitation écologique et dépourvu d'allergènes, et il va de soi que chaque chalet en fuste fabriqué de façon artisanale est aussi unique que hors pair. Suivant la méthode norvégienne, ces maisons sont normalement construites de rondins de bois brut de diamètre compris entre 28 et 42cm ou de madriers taillés artisanalement et d'épaisseur de 21cm, voire de poutres taillées de façon artisanale.

Chaque tronc ou fût, simplement écorcé, conserve sa forme, ses courbures, et vient épouser celui qui le précède. La technique d'ajustage consiste à tracer chaque fût en suivant la forme de celui qui le précède, puis à le creuser sous sa face inférieure de manière à permettre le croisement à l'angle du mur et l'encastrement en long sur le bois précédent.

*Avant la "fuste", le bois "d'empilage"

La technique de la fuste avait pratiquement disparu en France. Elle a été réintroduite dans les années 1980 à partir de l'Amérique du Nord. En fait, le meilleur réservoir de savoir faire reste l'Estonie et les pays nordiques au sens large (Suède, Finlande, Norvège sans oublier le Canada et l'Alaska) où elle a toujours été pratiquée avec de nombreuses variantes dans les entailles, les modes de calfeutrage, les entourages de fenêtres, etc.

Inconvénient:Le prix... en effet étant donné que, la maison en fuste de haute qualité est fabriquée artisanalement, cela explique pourquoi la fuste fabriquée manuellement coûte naturellement nettement plus cher que les chalets en bois ou les maisons en bois, fabriqués de poutres taillées industriellement, à la fraise et rassemblées de manière industrielle, devenus déjà coutumiers dans des parties du sud- ou du ouest d'Europe.
La méthode de fabrication comme tous les matériaux utilisés sont 100% écologiques et sans conséquence sur l'effet de serre.
Les substances utilisées pour la protection du bois ne font pas exception en la matière: les huiles naturelles et le goudron de bois sont tels qu'ils étaient utilisés il y a plus de 1000 ans déjà. Même s'il est vrai que de telles substances de protection du bois coûtent un peu plus cher que les peintures et les vernis de synthèse. Toutefois, il n'existe rien de meilleur en la matière pour protéger le bois contre le vieillissement. Il faut également mentionner que les huiles et le goudron naturels ne nuisent pas à la santé.
 La maison en fuste - j'♥♥♥ -

Viel enjambeur "Gadan"

*-*-*

Excellent, pratique maniable, mécanique simple, et surtout très faible consommation en carburant!!!
^^
Tracteur "Gadan" après rognage

Viel enjambeur "Gadan" après rognage vigne

^^

Mon rêve!!!


J'aime beaucoup les yacks je trouve ça génial et très beau!!!
Mon rêve.............. en possédé quelque un un jour (-:
Mwouaissssssss faux bien rêver (-:



♥♥♥...♥♥♥...♥♥♥....♥♥♥...♥♥♥...♥♥♥....♥♥♥...♥♥♥...♥♥♥....♥♥♥...♥♥♥...♥♥♥....♥♥♥...♥♥♥...♥♥♥....♥♥♥...♥♥♥...♥♥♥....♥♥♥...♥♥♥.
.

Race bovine: la salers


La race de Salers a été sélectionnée dès le XIXéme siècle sur la région volcanique du Massif Central.

Une race "tout terrain":Sa rusticité héritée en partie des conditions de milieux dans lesquelles elle a été sélectionnée, lui permet de s'adapter aux différents types de conduite.
Avec ses ongles noirs et ses excellents aplombs, la Salers peut marcher longtemps, sur n' importe quel terrain caillouteux ou humide, sans boiterie. Elle peut également supporter de très longues périodes en stabulation entravée, même sur caillebotis. Cette qualité la fait apprécier aussi bien dans les élevages les plus intensifs que dans les plus extensifs.
Sa robe acajou, sa rusticité, la légère pigmentation de ses muqueuses, lui permettent une excellente résistance à la chaleur (Texas, Portugal), en évitant les gerçures au pis et les affections oculaires.
Son poil frisé poussant très bien en hiver lui permet de résister aux grands froids (Canada, Rocheuses).
Rustique, la Salers mobilise ses réserves en période de disette pour assurer une lactation suffisante à son veau.. Elle les reconstitue rapidement en période d'herbe: les expérimentations ont ainsi démontré que les fortes variations de poids des vaches de Salers selon les saisons et le stade de la lactation.
Les qualités maternelles de la vache Salers permettent de garantir la production d'un veau lourd sevré par vache et par an, sans complémentation, et en toute tranquillité au moment des vêlages.
Les résultats nationaux du contrôle de performance en ferme font apparaître que l'intervalle moyen vêlage-vêlage est de 379 jours et ce, malgré une longévité importante. 12% des vaches ont plus de 10 ans. Ces performances font de la Salers la championne en matière de productivité numérique.

*La Salers noire – La race de vache Salers est bien connue du public et appréciée, entre autres, pour sa couleur rouge et ses cornes majestueuses en forme de lyre. Cependant elle revêt parfois une robe d'ébène non moins séduisante et non dénuée de qualités.
Alors que certaines races bovines françaises ont tendance à disparaître, la Salers à robe noire, qui vient du fond des âges, a été sauvée «in extremis» par un petit nombre d'éleveurs passionnés.
Cette Salers noire, anciennement connue, a semble-t-il été délaissée au XIXème siècle par un certain Tissandier d'Escous (*) connu comme le précurseur de la sélection en race SALERS a donné l'orientation actuelle à son standard en éliminant les différentes variantes de la race Auvergnate pour privilégier la seule couleur rouge. Cette variante de la race a surgi de tout temps dans plusieurs troupeaux des hautes vallées cantaliennes. La couleur noire de sa robe, de sa corne et de ses muqueuses correspond en fait à un gène simple dit «dominant» propre à cette race rustique. Contrairement à certaines idées reçues, le terme «dominant» n'a rien à voir avec le nombre d'animauxà robe rouge (l'immense majorité en race Salers) qui eux possèdent un gène dit «récessif».


Fromages AOC Salers "clik"

race bovine: la Normande

race bovine: la Normande
La Normande se reconnaît d'abord par sa robe tricolore, panachée de blond, marron-fauve et blanc (et non pas noir et blanc comme tout le monde le pense).
Le regard doux de la Normande est accentué par des cils blancs systématiquement mis en valeur par des tâches marrons autour des yeux ses « lunettes ». Ses autres caractéristiques sont sa grande taille, avec 1,40 en moyenne au garrot, son physique robuste (poitrail et hanches larges, museau « coup de poing »), et la taille de sa mamelle. Ses muqueuses sont le plus souvent de couleur foncée. Ses cornes sont blanches, courtes, et recourbées vers l'avant. D'une manière générale, cette vache laitière est très appréciée des éleveurs pour sa rusticité, et notamment sa facilité de vêlage. Son poids se situe entre 700 et 800 kg (autour de 1.650 livres).
la Normande se distingue de toutes les autres vaches laitières françaises par son lait très riche en protéines, grâce auquel le camembert est devenu un des fromages "le fromage ?" le plus connu au monde.
En plus de sa production record (environ 6.000 kg par an), elle donne de beaux veaux et est appréciée pour sa viande.
Certains affirment que la Normande descendrait tout droit d'une race amenée par les Vikings aux IXème et Xème siècles. Selon des spécialistes plus sérieux, il n'en serait rien ... La Normande a d'abord été connue sous le nom de Cotentine avant d'être croisée avec des taureaux venus d'Angleterre.

Race bovine "La Montbéliarde"

Race bovine "La Montbéliarde"
Le nom de la race "Montbéliarde" est déposé en 1872 par un paysan anabaptiste venu du canton de Berne, établi dans le village de Couthenans en Haute Saône, dénommé Joseph Graber. La "Montbéliarde résulterait du croisement entre une vache " Simmenthal" d' origine Suisse et une "Fémeline" d' origine Franc Comtoise. Il y a eu aussi dans la même période croisement entre des Simmenthal et des " Touraches" (vaches vivant en montagne du Haut Doubs et du Jura).
On la reconnais une robe pie rouge aux taches bien délimitées, à la tête blanche (ainsi que le ventre, les membres et la queue), et à muqueuses claires. Les cornes sont courtes, en croissant.
C'est une vache de grande taille. (1,46 m de hauteur au sacrum et 700 kg pour les femelles).

La Montbéliarde doit sa forte implantation à ses remarquables qualités laitières: +de 6000 kgs de lait par an. Son lait sert à fabriquer le gruyère français, le comté et le vacherin du Haut Doubs.

race bovine "la Tarentaise"

race bovine "la Tarentaise"
La Tarentaise, également appelée Tarine, se reconnaît d'abord à sa robe fauve uniforme, qui peut légèrement varier d'un jaune foncé à un rouge léger.
Cette vache est typiquement française, son nom vient de la vallée de la Tarentaise (en Savoie, non loin d'Albertville, le long de l'Isère), mais elle doit néanmoins ses origines à des bovins bruns indo-asiatiques. Elle a pris son nom de Tarentaise en 1863, et son livre généalogique ("herd-book") a été créé en 1888.

Ses lèvres, ses naseaux et son mufle sont noirs, et sa tête, surmontée par des cornes aux extrémités noires, comporte un front large. Ses jambes étant plutôt courtes, elle est de taille moyenne, soit 1,30 mètres au garrot (4 pieds 1/4), pour environ 550 à 600 kg (1.200 livres), ce qui en fait une vache plutôt plus petite que les autres vaches d'origine française, mais de taille équivalente aux vaches anglaises.
La Tarentaise est une vache calme qui acceptera facilement que vous vous approchiez près d'elle, et sa curiosité la conduira peut-être à vous flairer tranquillement.

La Tarentaise est élevée pour ses capacités laitières (4.500 kg de lait par an) et fromagère : son lait riche en matières grasses et azoté ont donné aux Français des fromages tels que l'emmental et la tomme de Savoie, mais aussi le beaufort, fromage également à pâte cuite et à la saveur plus relevée que les autres fromages de la même famille.

C'est une montagnarde, elle est bien adaptée aux variations de température et aux terrains accidentés. Sa corpulence plus faible que beaucoup d'autres laitières lui permettent également d'avoir de bonne capacités d'endurance, les grandes randonnées ne lui faisant pas peur. Ses qualités lui permettent d'être embauchées l'été comme travailleuses saisonnières dans les stations de ski françaises, où elles veillent à l'entretien des prairies pentues qui constitueront les pistes de ski.

Les vaches

Les vaches

La vache fait partie des ruminants.
La vache est un animal cornu, c'est bien connu! Les cornes sont creuses et persistantes (elle ne tombent pas comme celles des cerfs), et peuvent avoir plusieurs formes et plusieurs couleurs différentes, qui permettent souvent à elles seules de reconnaître les différentes races de vache. La longueur des cornes peut servir à déterminer l'âge de la vache.
Souvent aussi, on peut voir des anneaux sur les cornes : à chaque mise bas (quand la vache donne naissance à un veau), un sillon se forme à leurs bases, formant comme une bague creusée.
De plus en plus souvent, pour éviter qu'elles se blessent entre elles, les éleveurs coupent leurs cornes aux vaches. C'est pour ça que l'on voit de plus en plus de vaches sans corne, ou avec le bout des cornes coupé.
Enfin, il est important de rappeler le fort symbolisme associé aux cornes depuis des milliers d'années. Les gaulois ou les vikings ont porté des casques à cornes, pour afficher leur puissance physique, ainsi que les "cornus" corne a boire des Vikings et des Gaulois.

Chaque vache a une mamelle, donc dire " les mamelle de la vache " est absurde et chaque mamelle compte quatre pis. Chaque pis (que l'on appelle aussi "tétine") est constitué de quatre "quartiers" au sein desquels les cellules qui sécrètent le lait sont regroupées en grappes et reliées à des canaux. Ceux-ci arrivent dans une citerne, qui peut contenir 30 à 40 centilitres, et qui est située à la base du pis. Cette citerne est raccordée au trayon, qui est le couloir qui mène le lait jusqu'à la sortie du pis.La vache, pour faire du lait, a besoin de faire naître un veau. C 'est la naissance du veau qui déclenche la lactation, même dans les élevages les plus modernes ! La lactation dure en général dix mois, et la quantité de lait produite suit théoriquement la croissance du veau. Après ces dix mois, la vache est tarie pendant deux mois, à l'issue desquels..... elle vêle, un nouveau veau, et c'est reparti pour une nouvelle année.
Il y a des vaches spécialisées pour faire le lait. Ce sont les vaches laitières. Elles se distinguent des vaches bouchères et des vaches rustiques par la taille de leurs mamelles.
La vache a des yeux tout ronds et son regard est toujours très doux. Il paraît que la vache voit tout en très grand, et que c'est pour ça qu'elle a souvent peur quand on s'approche d'elle trop brusquement; il faut toujours s'approcher doucement d'elle en tendant la main vers son mufle pour le caresser. Certaines vaches se reconnaissent à leurs yeux ou à leurs lunettes.

On utilise le terme "robe" pour désigner la couleur et l'épaisseur des poils de la vache.
C'est le premier signe distinctif qui permet de savoir à quelle race une vache appartient, mais cela permet aussi au fermier de reconnaître chacune de ses belles.

La queue de la vache est fine et mobile, et elle se termine par un "toupillon", qui est une touffe de poils ébouriffés. Pour savoir comment le cœur de la vache bat, l'éleveur peut prendre son pouls en serrant le bas de la queue. Mais, en fait, cette queue est un instrument dont la vache se sert tous les jours pour chasser les mouches qui tournent trop souvent autour d'elle.

A voir: Comment la vache fabrique-t-elle du lait ?